Foire aux questions de nos patients

LIV ORTHO dispose de plusieurs implantations (Neuchâtel, Lausanne, Clarens/Montreux, La Chaux-de-Fonds) pour faciliter l’accès aux soins. Les coordonnées sont disponibles sur le site.

Lors de votre première visite, vous serez reçu pour un bilan complet : anamnèse, examen clinique, imagerie (radiographie/IRM si déjà effectuée), discussion de vos attentes, douleurs, limitations. Apportez vos examens antérieurs, questionnaire de symptôme, et soyez prêt à poser toutes vos questions. Vous serez orienté vers la meilleure prise en charge (conservatrice ou chirurgicale).

Il est recommandé d’avoir un courrier de votre médecin généraliste ou spécialiste pour faciliter la coordination, l’assurance et l’accès. Si vous n’en avez pas, le secrétariat peut orienter.

LIV ORTHO propose : physiothérapie ciblée (renforcement, proprioception), injections (acide hyaluronique, PRP), drainage lymphatique, électro-stimulation, conseils en nutrition et préparation physique. L’objectif : soulager la douleur, améliorer la fonction, retarder ou éviter la chirurgie.

La chirurgie est envisagée lorsque : la douleur persiste malgré traitements conservateurs, l’articulation est gravement affectée (arthrose avancée, prothèse), ou il existe une instabilité/rupture ligamentaire qui nécessite réparation. Après évaluation individuelle, l’équipe explique les options, risques, bénéfices.

Cela dépend de l’intervention. Le suivi inclut : gestion de la douleur, début rapide de la physiothérapie, contrôles réguliers. LIV ORTHO accompagne « de la prise en charge à la vie d’après ».

Nos centres sont situés dans des établissements agréés. Le remboursement dépend de votre régime d’assurance, de votre statut ambulatoire/hospitalisation, et du fait que la référence soit faite ou non. Il est conseillé de vérifier auprès de votre caisse avant l’intervention.

Les adresses sont indiquées sur le site. Les centres sont bien desservis par les transports publics et disposent de parkings. Consultez notre page « Localisation ».

Oui. Un espace ou un protocole est prévu pour la remise des comptes-rendus, examens et transmission à d’autres professionnels. En cas de besoin, contactez le secrétariat.

Les consultations se font du lundi au jeudi de 08h15 – 12h00 puis 13h00 – 16h45. Pour d’autres horaires, merci de prendre contact.

En quelques mots : Le patient d’abord. Nous valorisons l’écoute, la transparence, la relation de confiance. Le patient est partie prenante dans la décision thérapeutique. Nous engageons une équipe pluridisciplinaire pour un suivi personnalisé.

Il s’agit d’une usure progressive du cartilage articulaire du genou, entraînant douleur, raideur, diminution de l’amplitude, parfois déformation (genou valgus/varus). Elle peut être favorisée par surpoids, surcharge articulaire, mal-axe des jambes, antécédent traumatique.

La rupture se manifeste souvent par un craquement au moment du traumatisme, douleur immédiate, gonflement, instabilité du genou, sensation de « dérobement ». La prise en charge dépend de l’âge, du niveau sportif, du souhait du patient.

Pour le LCA/LAL : si l’instabilité persiste malgré kinésithérapie, ou si le patient souhaite reprendre un sport pivot. Pour l’arthrose sévère du genou ou le descellement de prothèse : quand la douleur, la raideur ou la perte fonctionnelle impactent la vie quotidienne malgré traitements conservateurs.

Physiothérapie ciblée (renforcement, équilibre, proprioception), injections d’acide hyaluronique ou PRP, ajustement des axes (ostéotomie), chaussures/semelles, gestion du poids.

Elle varie selon l’intervention mais : hospitalisation brève, début rapide de la rééducation, 6 à 12 mois pour retrouver une activité sportive complète. Un protocole personnalisé est mis en place.

renforcement musculaire régulier (quadriceps, ischio-jambiers)
– correction des axes (varus/valgus)
– maintien d’un poids sain
– sport à impact modéré (natation, vélo)
– éviter les traumatismes répétitifs de l’articulation.

Instabilité involontaire du genou, douleur chronique non soulagée, gonflement persistant, impossibilité de marcher normalement, antécédent de prothèse avec nouvelle douleur. Il convient de consulter sans tarder.

Il s’agit d’une maladie dégénérative de l’articulation coxo-fémorale, où le cartilage s’use, les os frottent, s’en suivent douleur, raideur, perte de mobilité, parfois boiterie.

Surcharge articulaire (surpoids, travail de charge), anomalies anatomiques (dysplasie de hanche, longue inégalité, jambe arquée), traumatismes antérieurs (fracture, luxation), facteurs génétiques, maladies inflammatoires

Douleur à l’aine, cuisse ou fesse – exacerbée à l’effort ou après position prolongée –, raideur matinale, diminution de l’amplitude, sensation de frottement/crépitation, boiterie.

Perte de poids, activité à faible impact (vélo, aquagym), physiothérapie, chaussures amortissantes, canne pour soulager, injections (corticoïdes, acide hyaluronique) pour soulager.

Lorsque la douleur et la perte fonctionnelle persistent malgré les traitements conservateurs, que l’articulation est sérieusement détériorée, ou en cas de nécrose de la tête fémorale, fracture sévère ou dysplasie avancée.

Évaluation préopératoire, explication des risques/bénéfices, anesthésie (générale ou régionale), incision, remplacement des surfaces articulaires par une prothèse, puis une phase de rééducation active avec objectif : marche sans douleur, retour aux activités adaptatives.

Bouger régulièrement, pratiquer un sport modéré, éviter la surcharge articulaire, contrôler le poids, adapter son environnement (barres d’appui), corriger les déformations du membre inférieur.

Douleur importante au repos ou la nuit, mobilité très réduite, boiterie nouvelle et persistante, antécédent de prothèse avec aggravation des symptômes — il est alors recommandé de consulter rapidement.

L’électro-stimulation utilise des impulsions électriques pour activer les muscles, améliorer la proprioception, limiter l’atrophie musculaire, et accélérer la rééducation fonctionnelle.

Oui. Ils sont souvent intégrés dans le protocole postopératoire pour optimiser la récupération, réduire les complications et raccourcir le retour à la vie normale.

Ces soins nécessitent une évaluation préalable : certaines pathologies vasculaires, installations de pacemaker, infections actives peuvent contre-indiquer ou requérir adaptation. Le praticien en discute lors de la consultation.

Selon l’intervention ou la pathologie, ces soins peuvent débuter dès les premiers jours après l’opération ou après stabilisation de la phase aiguë. Un protocole personnalisé est établi.